Un narval élégant

Un narval est un drôle d’animal auquel on a un peu de mal à associer l’idée de l’élégance. Pourtant le narval élégant, alias natty narwhal, vient de faire sortir sa dent unique, sa dent immense, de la surface de la mer sous forme d’une bêta de la version 11.04 (autrement dit la version d’avril 2011) d’Ubuntu.

Je suis en train de mettre à jour le disque externe de mon PC actuellement en 10.10, histoire de satisfaire mon insatiable curiosité sans pour autant mettre en danger mon outil de travail.

Je vous conterai quelles surprises cette nouvelle version nous livrera. Unity tout d’abord, la nouvelle interface utilisateur qui a tant déchaîné de passions contradictoires chez les plus curieux que moi qui ont déjà commencé à explorer les versions alpha. Je ne sais pas encore si je vais aimer cette sorte de dock d’un genre particulier et un peu raide. Il y aura aussi, en alternative avec Unity, une nouvelle mouture de Gnome dont je ne sais rien sinon qu’elle n’apporte pas grand chose de neuf et qu’elle est surtout là pour ne pas faire fuir tous ceux qui détestent Unity.

Nous verrons bien !

À bientôt pour notre nouveau feuilleton qui vient du froid : hr et le narval.
Pour l’heure il reste 5 heures de téléchargement et pas mal de temps d’installation, le tout se fera toutotomatiquement cette nuit. Si tout se passe normalement…

En exclusivité sur Macnomodo, le test de l’interface d’UBUNTU 11.04, dit Narval élégant, par hr l’affreux monstre bicéphale maco-linuxien !

Avec trois semaines d’utilisation et une moyenne de 200 Mo de mises à jour quotidienne (on est toujours en bêta, pas de panique !), j’ai un peu de recul par rapport à ce narval des mers d’Afrique du sud, véritable oxymore de la zoologie informatique.
En gros, à part les défauts de jeunesse tenant à toutes les grosses mises à jour (tous os confondus), c’est bien stable et très agréablement utilisable.

Les polémiques se sont un peu calmées sur le forum et les noms d’oiseaux entre les partisans frénétiques de la nouvelle interface Unity et les fanatiques enragés ennemis de tout ce qui touche à leurs habitudes, ayant été abandonnés pour une courtoisie de bien meilleur aloi, certains antis changeant même parfois imperceptiblement de camp au fil des jours. Le forum français a donc commencé à devenir lisibles.

Le jeu a fini par se calmer lorsqu’a été découvert que l’un des membres de la discussion, et l’un des plus modérés et les plus posés dans ses argumentations, n’était rien moins que l’un des porteurs de la part du génie frââââââânçaîîîs dans le développement du cétacé unicorne, pélagique et polaire.
Il est certain que, caché derrière son pseudonyme, s’il peut être tentant pour certains de traiter de tous les noms ceux qui développent une chose qui leur déplaît, il est moins facile de cracher dans la gueule des mêmes quand on les a, fût-ce virtuellement, en face de soi et qu’en plus ils sont aimables.

Oui, oui, bon, d’accord, ça va mais au fait, hr, au fait !

Bien. Donc Unity est un remplaçant de gnome 2, bureau très classique et terriblement vieillot, qui était jusqu’ici l’interface d’Ubuntu, lourdingue mais qui restait malgré tout bien utilisable moyennant un long travail de personnalisation et de bricolage. Gnome reste présent sous le capot d’Ubuntu 11.04 mais au moins n’en voit-on plus la pesante apparence très windowsienne façon XP.

Au premier coup d’œil, Unity est avant tout une sorte de dock (qu’il faut appeler un lanceur paraît-il) qui est assez configurable mais qui, dans cette première version manque un peu de souplesse. C’est tout de même pas mal du tout et moi qui pourtant n’aime pas les docks, je m’en contente sans me forcer. Vous voyez ici le lanceur à gauche (il ne peut pas être déplacé, il est à gauche un point c’est tout), une fenêtre ouverte en standard et son menu affiché dans la barre de menu globale à la mac. Le titre en fondu à gauche est le nom de l’appli dont la fenêtre a le focus et qui est affiché en temps normal. Là, il est recouvert par le menu avec cet effet de flou parce que j’avais amené le pointeur de la souris (on ne le voit pas sur la capture) dans la barre. Cette disparition/disparition du menu est un peu inhabituelle pour un utilisateur mac mais à l’usage ça n’est pas gênant du tout et ça évite de surcharger l’écran lorsqu’on ne s’occupe pas du menu. Une bonne idée.



La même chose avec la fenêtre en plein écran, on voit que la barre de la fenêtre est fusionnée avec la barre de menu (le menu n’est pas visible ici, je n’ai pas réussi à faire la capture en l’affichant, il serait juste à droite des trois boutons de la fenêtre) :



Pour les petits écrans, on peut choisir de faire disparaître le lanceur lorsque la fenêtre qui a le focus est en plein écran ou qu’une fenêtre est poussée jusqu’au bord gauche de l’écran.
Pour passer une fenêtre en plein écran, il suffit de lui faire toucher le haut de l’écran. De la même manière, lui faire toucher le côté gauche ou droit lui fera automatiquement occuper la moitié de l’écran. En deux coups de souris on peut placer deux fenêtres côte à côte. On pouvait déjà obtenir le même résultat par un raccourci clavier depuis les versions antérieures mais là c’est encore plus rapide. Par les raccourcis on peut de façon similaire, entre bien d’autres choses, les placer dans les coins ou en haut et en bas pour afficher sans recouvrement plusieurs fenêtres.

Tout ça est une exploitation réjouissante de compiz, une énorme usine à gaz de ressources graphiques allant du coup de génie au gadget absurde, du dimensionnement des fenêtres automatique et « intelligent » comme on dit de nos jours pour quelque chose qui tient compte du contexte (par exm^le les nouvelles fenêtres se calent en fonction de celles qui sont déjà placées), aux délires dans le genre rendre les fenêtres molles et gélatineuses quand on les trimballe, la mise à feu de l’écran à chaque clic de souris ou au contraire son arrosage par une pluie d’intensité paramétrable en nombre et en grosseur de gouttes… Il en faut pour tout le monde !

Les idioties mises à part et les nouvelles fonctions mises en avant, un utilisateur averti arrive à se créer un environnement de travail à l’ergonomie vive et réjouissante. Les fenêtres, en plus de se caler d’un geste, peuvent être enroulées provisoirement d’un coup de molette bien placé ou s’afficher en miniature pour dégager le terrain lors d’une manipulation nécessitant de l’espace libre. Ça n’a l’air de rien mais c’est inestimable dans un travail de tous les jours dans lequel on est amené à manipuler de nombreuses fenêtres.

Pour l’instant le lanceur n’a pas de choix d’apparence et il est assorti au thème par défaut qui est sombre. Comme je préfère le thème clair, il y a une évidente incohérence de couleurs entre les fenêtres, la barre de menu et le lanceur. Ces choses là évolueront rapidement.
Les points à gauche d’une icône indiquent les instances de l’appli, par exemple pour un navigateur ayant trois fenêtres ouvertes, il y aurait trois points. Le point à droite indique quelle fenêtre a le focus.

Il y a l’équivalent d’exposé ou de spaces du mac en plus paramétrables, il y a des raccourcis clavier en pagaille qu’on peut se créer et modifier, des coups de boutons de souris avec ou sans touches de modification pour orchestrer tout ça et on est ravi…

On a le choix, dans cet équivalent d’exposé, entre afficher toutes les fenêtre ou seulement celles de l’écran actuel. Tout est réglable, couleur, transparence, assombrissement du fond, échelle de la réduction, espacement des fenêtres… Les réglages par défaut sont toujours bien pensés et la plupart des utilisateurs ne cherchera même pas à modifier quoi que ce soit :


L’équivalent du spaces du mac avec une fenêtre en train de changer d’écran. L’écran d’où on vient est éclairci et là encore tout est réglable. On peut appeler exposé et spaces par des raccourcis clavier, des clics de souris ou les deux. Chez moi, je passe à cette vue avec un clic milieu :



Oui mais un débutant, me direz-vous ? Il va avoir peur, il ne va rien savoir faire ?
Si, justement, tout le foisonnement des possibilités de l’interface, il n’en verra rien tant qu’il n’aura pas exploré. Dans ses premiers pas il voit une barre d’icône à gauche de l’écran, il clique dessus, l’application s’ouvre. Plus besoin d’aller fouiller dans un menu labyrinthique et gnomesque, il y a firefox, skype, thunderbird, libreOffice là, juste devant lui. Il ne veut rien de plus, il l’a et c’est simple, c’est facile. Il ouvre l’icône dossier personnel et il voit ses fichiers, avec les dossiers classiques images, vidéos, documents, modèles, etc. Il a à droite le calendrier avec l’heure, la météo, le contrôle de son lecteur de musique, une enveloppe qui devient bleue quand il a du courrier, etc. :



Les débutants aussi sont ravis, ce que montre l’étude que je mentionne en fin de message.


Alors qui n’est pas ravi ? Ceux qui aiment les menus qu’ils ont toujours connu, qui veulent avoir accès sans trop de mal aux 127 applis qu’ils ont accumulées au fil des ans.
Ceux qui sont allergiques au menu global, c’est à dire à la barre de menus façon mac qui leur semble le comble de la négation de l’ergonomie (si si, il paraît que c’est pratiquement inutilisable, pauvre de nous qui subissons cette aberration depuis les années 80 !) et pleurent de rage que les six fenêtres ouvertes devant eux ne soient pas encombrées chacune de son menu au grand complet.
Ceux qui n’aiment pas que le lanceur soit à gauche et veulent qu’il soit en bas de l’écran parce que (c’est évident et incontestable) c’est plus pratique.

En fait, cette interface est faite pour prendre en compte le fait que, de nos jours, les écrans sont tout en largeur et qu’en dehors de l’affichage d’un film en cinémascope, on manque toujours de place verticalement alors qu’occuper un peu d’espace latéralement n’est guère gênant. De ce constat découle les principales différences entre Unity et gnome : le dock est sur le côté, le menu est unique, le plein écran fusionne la barre de fenêtre et la barre de menu. Pour moi, habitué au mac où je place toujours le dock à gauche depuis les débuts d’OS X, il n’y a là rien que de familier sauf la fusion menu/barre de fenêtre qui me semble être une excellente idée. De la place ! de la place ! de la place !

Le seul ratage est le dash, les dash à vrai dire puisqu’il y en a deux différents, sorte de dashboard qui permet de chercher les fichiers, les applications, les applications téléchargeables (absurde à cet endroit !), un lanceur texte, bref un fourre-tout mal pensé. Je n’ai pas réussi à faire de capture pour vous montrer ce machin.
Tout le monde, même moi qui suis pourtant bon public, trouve que l’idée est bonne mais que c’est magnifiquement raté. Les designers de Canonical le reconnaissent sans arrière pensée et dans six mois, le dash aura fait peau neuve dans la 11.10. Je crois qu’on aura là vraiment une très belle interface. L’actuelle me convient très bien malgré quelques petits défauts faciles à vivre et grâce à ses grandes qualités d’ergonomie.

Le côté vieillot de gnome 2 ou confus de KDE 4 sont bien loin. Pour moi, Unity est un environnement de travail plaisant et efficace, c’est ma conclusion après trois semaines d’utilisation quotidienne.

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Un résultat de test d’utilisateurs montre que les utilisateurs de Mac sont nettement plus à l’aise devant Unity que les utilisateurs de Windows, particulièrement ceux d’avant windows 7. Rien d’étonnant. Le menu global et l’utilisation d’un dock ou assimilé n’est pas immédiate pour un utilisateur d’XP. Le seul gros reproche est le dash, pas de surprise mais Unity est généralement perçue comme une interface facile et agréable.

Le rapport de test utilisateurs (en anglais) :
Unity benchmark usability april 2011

Ça donne presque envie d'essayer...

Sur un mac, froidement en double boot, je ne sais pas trop, j’ai essayé une fois et ça ma foutu une pagaille pas possible qui a fini en reformatage complet (mais j’avais un clone !). En passant par bootcamp c’est sûrement plus prudent.
Mais sur un PC ça gaze.

Je ne sais pas à quoi ressemble la version légère pour PC un peu ancien comme Xubuntu 11.04 ou Lubuntu encore plus minimaliste. C’est souvent une bonne manière de continuer à faire vivre un vieux PC.

Par contre la 11.04 standard commence à devenir exigeante en ce qui concerne la carte graphique. Sur mon vieux PC avec une vieille radeon 9200 SE, je me suis retrouvé avec gnome, unity refusant de démarrer avec cette carte.

En 11.10 il y aura Unity 2D, version allégée de l’Unity 3D actuelle qui pourra tourner avec une carte faiblarde. J’ai fait un essai de la 2D (vite abandonné c’est encore en plein développement) et ça ne change pas énormément de choses, moins de transparence, d’ombres partout, d’animations complexes… Fonctionnellement, c’est pratiquement identique et pour un petit poste de travail ça ira très bien.

Ou dans une VM Parallels.
C'est comme ça que je teste certains trucs.

C’est vrai, c’est aussi une bonne solution.

Je viens par hasard de trouver par hasard une idée simple mais astucieuse d’Unity :

- quand on a une seule fenêtre d’une application ouverte, cliquer dans l’icône de l’appli du dock amène la fenêtre au premier plan et fait passer si nécessaire à l’écran où elle est ouverte. Idem dans mac os 10.6.

- quand on a plus d’une fenêtre de l’appli ouverte, on passe à un affichage dans exposé de ces fenêtres. Pas mal du tout. OS 10.6 les fait défiler l’une après l’autre à chaque clic, ce qui n’est pas trop mal mais il ne faut pas avoir trop de fenêtres sinon ça devient laborieux !

Ce qui devient bizarre c’est d’avoir deux machines avec deux OS sur le même bureau avec des tas de trucs pratiques des deux côtés mais pas les mêmes !

hr a écrit:

Ce qui devient bizarre c’est d’avoir deux machines avec deux OS sur le même bureau avec des tas de trucs pratiques des deux côtés mais pas les mêmes !

C'est le prix de la liberté.

Effectivement, et puis ça fait des exercices d’assouplissement de cerveau.

J’ai essayé de faire se rapprocher au maximum les raccourcis clavier et manœuvres de souris mais ce n’est pas facile. Un seul clavier (de mac et une souris branchée dessus) était assez intéressant pour ça mais brancher et débrancher cinquante fois par jour pour passer d’une machine à l’autre, ça finissait par devenir insupportable !

Pour info, j’ai relevé ce commentaire que je n’ai évidemment pas pu vérifier, mais les pingouins utilisateurs d’ibidules jubilent :

Citation :

A noter, iPad 2 et iPhone 4 se synchronisent parfaitement. Plus besoin de passer par iTunes !

Traduction : plus besoin de passer par un double-boot windows pour utiliser itunes et donc transférer leur zizique.

Cette après-midi 11.04 vient à peine de sortir officiellement et je viens de lire :

Citation :

À priori, la alpha 1 de Oneiric sera pour le 2 juin.

L’ocelot onirique c’est 11.10 qui sortira en octobre et ils trépignent déjà !

Citation :

Mais pour les plus impatients, les dépôts semblent être en cours de création. On devrait pouvoir migrer d'ici la fin de la semaine (peut-être même demain)

Il y en a, on ne les tient pas…

Il n’y a encore rien à voir jusque derrière l’horizon mais la discussion sur Ubuntu 11.10 a déjà entamé sa troisième page…
Et évidemment il y en a qui ont déjà trouvé le moyen de s’engueuler !

hr a écrit:

Il n’y a encore rien à voir jusque derrière l’horizon mais la discussion sur Ubuntu 11.10 a déjà entamé sa troisième page…
Et évidemment il y en a qui ont déjà trouvé le moyen de s’engueuler !

Oh, ça s'est vu aussi sur des forums Mac

Sur une version pas encore complètement définie et qui sortira dans six mois ? Je ne sais pas mais je crois que je n’avais pas encore vu ça.

Plus je vois des PC plus j'aime mon Mac.

Plus je vois Ubuntu plus j'aime mon OS X.

Faut qu'ils règlent la couleur du photocopieur chez Canonical...

Il est décidément de trèèèès mauvais poil aujourd’hui !

À part ça, ce qui ressemble au mac c’est compiz, pas canonical qui n’a fait que le dock et les aplets de la barre de menu. Le menu global en haut pour toutes les applis façon mac existe depuis des années et a été introduit dans linux par KDE. Par ailleurs la copie marche dans les deux sens puisque Exposé est une pâle copie de ce que font gnome et kde depuis longtemps et mieux mais là, canonical a supprimé ce qui était mieux et il ne reste que l’exposé du mac. C’est à peu près tout ce qu’il ont copié, si on peut dire, et ça ce n’était justement pas malin !

Reste des choses à copier pour le mac qui n’a toujours pas d’onglets ni de double panneau dans le finder et pas de rangement automatique des fenêtres. Un jour, forcément ils le sortiront aussi et on dira, ébahi et admiratif, qu’est-ce qu’ils ne vont pas encore inventer !

Ah la la !Je fais rien qu’à l’embêter le w !

Compiz, Canonical... j'suis pas ornithologue, pour moins un pingouin c'est un pingouin.

Exposé ça date de 10.3, c'est à dire 2003 : http://www.configmac.com/panther.php

Le Dock ça date de NeXT, c'est à dire 1990.

Compiz dessus c'est 2006.


La barre de menu, ce n'est pas ce que j'aime le plus sur Mac OS X... je préfèrerais de loin la méthode NeXTStep justement.

Le "rangement automatique des fenêtres" sur Mac OS X c'est le bouton orange. Le reste j'en ai rien à carrer et que t'as Path Finder qui fait très bien ça pour ceux qui veulent (même qu'un Alsacien m'en avait parlé).


J'va réinstaller Opera et son harpon intégré. Y'aura de la soupe de narval au prochain menu.

Exposé en 10.3… hum… Il n’y a pas que moi qui m’embrouille dans les chiffres…

hr a écrit:

Exposé en 10.3… hum… Il n’y a pas que moi qui m’embrouille dans les chiffres…

T'as l'alzeimer qui pointe. Exposé est bien apparu avec Mac OS X 10.3 Panther.

Alzheimer... un pays à toi ?


Edit : Ah! Non, un Bavarois. Je commence à comprendre l'origine les errements défensifs du FCB...

Effectivement, je viens de voir ça. Comme je n’en croyais rien, j’ai mis en route l’ibook qui est encore en 10.3 et il y avait bien exposé ! C’était une bonne idée de me dire ça, d’abord parce que pour UNE fois (huhu) tu avais raison et aussi parce que du coup j’ai vu que la batterie était complètement vide ! Pas bon ça de la laisser se vider à ce point…

(c’est quoi FCB)

C'est ça.

Supporter depuis 1976.

J'aime pas le vert. Ma couleur c'est le rouge.

Oh alors là, je ne risquais pas de savoir de quoi il s’agissait !

hr a écrit:

Oh alors là, je ne risquais pas de savoir de quoi il s’agissait !

Il est vrai qu'en Alsace c'est devenu le désert footbalistique.

Bah! Mon club local risque de rejoindre le RC Strasbourg en national l'an prochain. Ça fera de beaux derby, comme dans ma jeunesse... le public en moins.

Doubleyou a écrit:

C'est ça.

Supporter depuis 1976.

J'aime pas le vert. Ma couleur c'est le rouge.

Ça aurait aussi bien pu être ça, ou ça… ya le choix

Linux < 0,95 %



http://www.netmarketshare.com/operating-system-market-share.aspx?qprid=8


Ils n'ont même pas essayé de détailler les différentes distributions.

Très bien, pourvu que ça dure !